Quoi qu’elle ait peur que les pirates soient de vrais bandits marins qui pillaient des navires ou des villes portuaires. Leurs trésors oubliés sur les îles perdues, leur drapeau crâne noir et leurs manières cruelles sont la source de nombreuses légendes qui rêvent encore aujourd’hui. Célèbres ou inconnus, les pirates ont parcouru le monde et ont touché la plupart des civilisations tout au long de l’histoire. Cependant, l’âge d’or de la piraterie remonte à une période comprise entre la fin du XVIIe et le début du XVIIIe siècle. En savoir plus sur ce monde dans cet article !
Plan de l'article
1. Les pirates pourraient servir l’Etat
Nous imaginons des pirates totalement libres et indépendants qui laissent leur loi gouverner toutes les mers du monde. Cependant, sur une base régulière, ils servent parfois un État au moyen de lettres de marquage. Puis ils ont fait ce qu’on appelle des corsaires. Ils ont été chargés d’attaquer un ou plusieurs navires clairement identifiés, de qu’un État voulait se libérer parce qu’ils faisaient partie d’une nation hostile. L’Etat a livré le vaisseau aux pirates . Le butin gagné après le combat a ensuite été divisé en trois parties : un premier tiers pour l’Etat de parrainage d’attaque, une seconde pour l’armateur qui a emprunté le navire, et le reste pour les pirates.
A lire également : Comprendre les différentes formes de menaces numériques en 2023
2. Le scorbut, la peste des mers
Aussi libre et riche en émotion qu’elle soit, la vie des pirates était en grande partie difficile. Le ravitaillement était un sujet compliqué en haute mer. Il était rare de pouvoir produire suffisamment de vivres et même si possible des aliments qui ont été conservés depuis longtemps : viande séchée, morue salée… Ce régime est complètement déséquilibré et le manque de vitamine C a conduit à une maladie grave chez les pirates : le scorbut. Après avoir perdu ses dents, des ulcères de jambe, puis des saignements, le flibuster souffrirait de souffrances atroces mourir.
3. La colonie pirate de Libertalia
Retirés de la justice, orphelins sans avenir, rejetés par la société, n’avaient souvent rien à perdre et rêvaient de leur cruauté évidente de vivre librement sans violence. Ils tentèrent d’établir des colonies, dont la plus célèbre est Libertalia, implantées sur les rives de Madagascar par un capitaine et un prêtre devenus pirates par opportunisme. Tous les spécialistes ne sont pas sûrs de l’existence de cette colonie utopique, où les esclaves étaient libres et la vie était douce, et soupçonnent que Daniel Defoe, l’auteur de Robinson Crusoe , a été l’origine de la légende…
Lire également : Les stratégies incontournables pour prévenir les infections virales sur votre système informatique
4. Les pirates font encore
Barbe Noiredes nouvelles est l’une des plus grandes légendes de la piraterie. Leur bateau, la Reine Anne’s Revenge, aurait été déplacée en 1996 à l’entrée de Beaufort Bay (Caroline du Nord) trouvé. Une cloche obsolète, trois ancres et un nombre impressionnant d’armes ont été élevés sur les lieux du crime. Le navire, cependant, possédait environ 40 canons, un très grand nombre à l’époque. En 2018, des morceaux de papier ont été obtenus à partir d’une gangue de boue, sur laquelle quelques mots sont encore lisibles. Cependant, aucun trésor n’a été découvert. Barbe Noire disait bien : « Seuls le diable et moi connaissons la place de mon trésor. Et le diable aura tout !
Desséjours pirates sont également organisés pour permettre aux enfants de s’immerger dans ce monde légendaire. Preuve que la mémoire de Barbe Noire » est toujours là aujourd’hui !
5. Le code des pirates
Popularisé par le premier épisode de la saga Pirates des Caraïbes, le « Code des pirates » atteint son âge d’or sous le pirate Bartholomé Roberts . Il y avait des règles pour distribuer le butin ou l’offre, et il y avait un désir de liberté comme fondement de la vie des pirates. Cependant, chaque capitaine avait plus ou moins ses propres règles à bord de son bateau, ce qui prouve que les flibusters ne vivaient pas sans foi ni loi.
6. Les pirates étaient aussi des femmes
Alors que la piraterie était principalement un univers masculin, certaines femmes ont également rendu célèbre en tant que pirates. C’est le cas d’Anne Bonny , par exemple, au XVIIIe siècle. En grandissant comme un garçon, déshéritée de son père, elle a rapidement mené une existence pirate avec Jack Rackham et Mary Read, une autre femme pirate qui ressemble depuis longtemps à un homme. Elle était appréciée pour son caractère bien tempéré et guerrier et a connu une fin de vie controversée, mais elle a pu s’acquitter après avoir pris le bateau de Rackham. On ne peut pas parler de piraterie féminine sans Ching Shih mentionnons une prostituée qui est devenue un pirate. Au sommet de dizaines de milliers d’hommes, elle a réussi à prendre sa retraite en négociant avec le gouvernement.
7. La piraterie existe depuis des milliers d’années
La piraterie va de pair avec le développement de la marine marchande. La piraterie a été identifiée depuis les temps anciens. Jules César lui-même a été capturé par des pirates près de la ville de Miletate, en Grèce, en 75 av. J.-C., tandis que Pompée luttait longtemps contre les pirates ciliques qui moussaient la Méditerranée. Les Vikings ont également pratiqué en quelque sorte actif et se trouve en Asie, en particulier dans la mer chinoise. Elle a exporté vers les îles Canaries et les Caraïbes lorsque l’Angleterre, l’Espagne et la France ont commencé à transporter la richesse des îles vers l’Europe et à se livrer à la traite des esclaves.
8. Recruter des pirates
Il y avait plusieurs façons de devenir un flibuster. En tant que navire de capturé un navire pirate, les vaincus étaient libres de rejoindre l’équipage gagnant en signant un code de conduite. Les médecins et les charpentiers possédant de précieuses compétences étaient souvent recrutés de force. Les équipages de pirates se composaient principalement d’anciens marins abandonnés après la fin d’une guerre pour laquelle ils avaient été mobilisés. Ils n’ont pas travaillé avec la piraterie, qui offrait également un lieu de vie aux esclaves qui avaient fui ou ont été libérés par des pirates.
9. Démocratie parmi les pirates
En aimant la liberté et l’égalité, les pirates partageaient le butin selon des règles strictes. Le capitaine ne pouvait réserver que deux fois la taille des hommes de son équipage, et les blessés recevaient une portion supplémentaire, ce qui échappait à la gravité de leur mutilation. Le capitaine a été choisi par tous les pirates (à l’exception des très jeunes ou pirates viennent d’arriver sur le navire). Malgré cette opération, la vie à bord d’un navire pirate est restée difficile, mais elle était nettement différente de celle sur un navire marchand.
TROUVEZ VOTRE SÉJOUR
Une question à propos de ce sujet ? Contactez-nous au 01 45 30 91 91 91 91 ou par e-mail en cliquant sur Contact !
